La nouvelle drogue du moment, c’est Pocket Card Jockey, ou comment Game Freak Inc., développeur historique de la franchise Pokémon, a réussi à allier le jeu de solitaire avec les courses hippiques.
Tomodachi Life, suite d’un épisode a succès sorti exclusivement au Japon sur Nintendo DS, est un jeu bien particulier. Tellement particulier que l’on se demande ce qui a pu passer par la tête des dirigeants des filiales occidentales de Nintendo au moment de décider s’il fallait importer la franchise ou non hors des frontières nippones. Le pitch ? Accumuler les Mii de ses amis et les regarder faire des trucs.
Soutenu par presque 50 millions de backers, Nintendo se décide enfin à sortir la version revue et corrigée de sa console Nintendo 3DS en occident, simplement affublée de la mention New. Est-ce que ça vaut le détour ? Quelles nouvelles fonctionnalités révolutionnaires et innovantes sont au programme ? Découvrons ensemble la console qu’aurait dû être la Nintendo 3DS d’origine il y a quatre ans.
Je n’ai jamais porté la série Pokémon dans mon cœur.
A vrai dire, je n’ai même jamais fait les jeux d’origine à leur sortie, depuis la version Bleue et Rouge. J’ai pourtant tenté l’expérience, empruntant des cartouches à gauche et à droite, mais un problème subsiste : je me fais chier à mourir.
Depuis 15 ans et l’épisode Nintendo 64, la série Super Smash Bros. chapeautée par Masahiro Sakurai a fait les beaux jours des afficionados des franchises Nintendo, permettant à une flopée de personnages de se foutre sur la gueule dans des arènes aux couleurs des meilleurs titres de la marque. Si chaque console de salon depuis ce premier épisode a eu droit à sa version du titre, ce n’est qu’avec la Nintendo 3DS que la franchise passe le cap de la version mobile, et ce de fort belle manière.